Les 3 motards de la police parisienne venaient de jeter plusieurs grenades déflagrantes au milieu de la foule qui déambulait pacifiquement. Une fois de plus, c'est la volonté barbouzarde du pouvoir de créer l'incident et la stupeur avec l'aide des médias collabos.
commentaire d'actualité
-
Policiers sur les Champs Elysées : ce que les chaînes à la botte ne montrent pas
-
Les pompiers pyromanes
Qu'ils sont offusqués les occupants du pouvoir et les politiciens blablateurs de tous bords !
A Angoulême, des gilets jaunes ont organisé un simulacre de procès de Macron qui s'est terminé par une décapitation fictive, suivie de la mise au bout d'une pique de la tête du mannequin à l'effigie du chef de l'Etat.
"Une honte, une atteinte à nos institutions, une insulte à la république...", les commentaires n'en finissent pas de passer en boucle sur les chaînes à la botte.
De qui se moquent-ils ? Voilà 150 ans que les manuels scolaires sont imprégnés de la mystique révolutionnaire. La république est née dans le massacre sanglant des dizaines de milliers de décapités de la Révolution de 1789.
La violence est insupportable ? Qu'ils suppriment le 14 juillet comme fête nationale. Ce jour où, en 1789, une foule déchaînée a violé, tué, massacré, décapité et promené la tête de dizaines de victimes au bout d'une pique.
Deux siècles que les Français ont été entraînés à la haine révolutionnaire par les bons républicains, de Mirabeau à Macron en passant par Clemenceau, de Marat à Castaner en passant par le petit père Combes !
Assumez votre idéologie messieurs et réjouissez-vous que ce peuple honore la gestuelle de vos grands ancêtres !
"Qu'un sang impur abreuve nos sillons", faites vous chanter aux petits Français depuis votre grande révolution. Eh bien récoltez maintenant ce que vous avez semé !
Ian BALY
-
Reprise
Interrompu pour cause de mobilisation de son auteur aux côtés des gilets jaunes, ce blog reprend son chemin notamment pour commenter cette mobilisation populaire inespérée contre le mensonge et l'injustice sociale.
-
Les "gilets jaunes" seront-ils traités comme les manifestants anti-"mariage" homo ?
Castaner, le nouveau ministre de l'Intérieur, lance des menaces à peine voilées à l'attention de ceux qui entendent manifester en cette fin de semaine leur ras-le-bol du racket routier.
Les diverses réunions de "gilets jaunes" qui se tiennent un peu partout en France montrent que l'on a affaire à des braves gens sur qui l'on pourra taper sans risque d'émeutes généralisées en cas de bavures. Un peu à l'instar des pacifiques sympathisants de la manif pour tous qui, il y a 5 ans, reçurent coups, gazages et subirent des arrestations arbitraires de la part de la police du régime.
"La République gouverne mal mais elle se défend bien" écrivait Anatole France.
-
Gâchis islamiste
Un homme se réclamant de Daesh a tenté de s'immoler dans un TGV... avec du vin rosé ! Les passagers en ont été pour une bonne frayeur et la SNCF pour un bon shampouinage de la moquette. L'islamiste en herbe devait être plus coutumier du haschich que du rosé de Provence !
-
Ils ne comprennent rien ...
Un récent sondage nous montre que l'Education nationale et les journalistes ont encore du pain sur la planche... A moins que les gens aient fini par ne plus les écouter...
-
Hausse du prix des autoroutes : le racket à l'état pur
L'Etat vient de donner son feu vert pour une énième augmentation des tarifs, au 1er janvier 2019, pour les sociétés qui ont la mainmise sur les autoroutes françaises.
Pour soi-disant financer un plan de travaux . Non ! Pour que ce système mafieux rapporte encore plus aux actionnaires des multinationales ! Une fois de plus, Macron fait sur le dos des Français le sale boulot pour lequel il a été élu, au profit de ceux qui l'ont fait élire.
Qu'on en juge par les derniers bénéfices de VINCI Autoroutes, principal groupe ayant la gestion des autoroutes françaises : 1.75 milliards d'euros en 2017
L'an dernier, les actionnaires en étaient, à 41% de hausse de leurs dividendes !
Et il y en a qui critiquent l'Ancien Régime...
-
Ignorance mensongère des journalistes
Ce 7 novembre, une messe était célébrée pour le repos de l'âme du Maréchal Pétain en la chapelle de l'Ossuaire de Douaumont. Rien de tel pour exciter les journalistes de la presse locale et nationale.
Dans le viseur, l'association qui organisait la messe : l'ADMP (Association de Défense du Maréchal Pétain). Immédiatement, la presse y voit un refuge de nervis d'extrême-droite, d'obscurs nostalgiques de la collaboration. Rien d'étonnant pour une association "créée par des anciens du gouvernement de Vichy" (sic).
Seul hic : dès sa création, l'ADMP avait comme principal soutien, membre de son comité d'honneur, le colonel Rémy, héros de la résistance dès 1940 et patron du plus important réseau de renseignements de la France Libre sous l'Occupation. Lui à qui De Gaulle a dit un jour de 1947 : "Pétain était le bouclier, moi j'étais l'épée".
L'histoire est vraiment trop complexe pour être traitée par les journalistes du système...
-
Macron et les années 30
La semaine dernière, le Président de la République, en grandes difficultés, s'est fendu auprès du quotidien Ouest-France, d'une comparaison historique entre l'époque actuelle et les années 30. Evidemment pour le héraut du progressisme en marche, il s'agissait d'agiter le fanion du fascisme, l'éternel retour de la "bête immonde".
Mais s'il y a similitude entre notre époque et les années 30, elle est tout autre que celle évoquée par Macron.
En effet comme dans les années 30, le monde est confronté à un phénomène de nature totalitaire qui, à la différence du nazisme et du communisme, se greffe sur une certaine transcendance religieuse. Il s'agit du totalitarisme de nature islamiste qui sévit aux quatre coins de la planète.
Comme dans les années 30, la plupart des dirigeants européens, issus de la sociale démocratie et de l'élite mondialiste, sont totalement méconnaissants de la nature profonde du phénomène qu'ils ont en face d'eux. Pas plus que leurs prédécesseurs n'avaient lu Lénine ou Mein Kampf, ils ne connaissent la vie de Mahomet et n'ont lu le Coran ou les Hadiths.
Comme dans les années 30, certains de ces gouvernants refusent de voir le danger et font "un bout de chemin" avec le totalitarisme qui menace pourtant leurs pays, par des combinaisons entre services secrets, en vendant des armes à des états soutiens du totalitarisme, tout en désarmant moralement et matériellement les nations qu'ils sont sensés diriger.
A la différence des années 30, nos dirigeants acceptent que se mettent en place chez nous, avec plus ou moins d'étendue selon les pays, les préceptes et les modèles politico-sociaux du totalitarisme adverse. Léon Blum et le Front Populaire ont désarmé la France mais ils n'ont tout de même pas tolérés que se pratique la discrimination aryen - non aryen dans quelques strates de la société française de l'époque. Aujourd'hui, nombreux sont les endroits où la charia est mise en oeuvre : généralisation du halal, séparation hommes femmes dans les piscines...
L'Angleterre actuelle en est à reconnaître la justice islamiste sur son sol...
Alors, voici effectivement quelques faits qui attestent d'une réelle similitude entre notre époque et les années 30. Mais à la différence des années 30, se lèvent dans nos pays des mouvements de résistance populaire, déliés de toute influence de nature totalitaire et n'ayant comme seule motivation que la défense de leur identité et de leur civilisation.
A la pointe de ce combat se trouvent d'ailleurs des nations qui ont subi le totalitarisme communiste bien au delà des années 30 et savent donc quelle est la valeur et le prix de la liberté.
-
Taxe d'habitation : tripatouillages en cours, retour de flammes à venir...
Les contribuables ayant des revenus par part fiscale inférieurs à 27.500€ annuels (80% des contribuables en gros) ont eu la bonne surprise, en ce mois d'octobre, de voir leur taxe d'habitation (TH) diminuer de 30% (normalement... Voir plus loin). L'an prochain, ce sera de 70% et en 2020, ils ne devraient plus payer un centime à ce titre.
"Ce Macron, il fait quand même des bonnes choses !" diront les gogos qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Chaque fois, ils se font avoir mais ils en redemandent. Explications.
Rappelons tout d'abord que la taxe d'habitation est perçue par les communes ou les intercommunalités à fiscalité unique. C'est à dire que l'Etat macronien fait des cadeaux avec l'argent des autres. En l'occurrence sur le dos des entités qui ont à gérer le quotidien des Français, au plus proche de leurs besoins (écoles, voiries, eau, assainissement, services sociaux de proximité, logement...) et avec toujours plus de contraintes.
Bien entendu, le gouvernement s'est engagé à rembourser les collectivités concernées pour la perte engendrée par cette réforme.
Les plus malins des maires ou des présidents d'intercos ont fait un rapide calcul : si en 2018, j'augmente ma TH de 10%, mes administrés verront quand même leur TH baisser de 20% (au lieu de 30%). Ils seront contents et pour ma commune, l'Etat remboursera ma TH augmentée des 10% votés cette année.
Voilà l'entourloupe que les hauts-fonctionnaires du ministère des finances et les champions de la nouvelle ère macronienne n'avaient pas prévue. L'Etat, qui n'a à ce jour toujours pas expliqué où il allait trouver les ressources pour la compensation auprès des communes, se retrouve dès la première année avec une masse de TH à rembourser plus importante que ce qui était prévu. Et ce n'est pas fini : les moins malins des maires vont se joindre au mouvement en 2019...
Au final, il y a fort à parier que l'Etat n'honore pas ses engagements ou que les compensations ne soient que partielles ou très provisoires. Les collectivités territoriales verront leurs ressources diminuer et ne pourront faire face à leurs besoins. Déjà largement affaiblies financièrement par les baisses de dotations de l'Etat et les transferts de compétences mis sur leur dos par ce même Etat, elles n'auront pas d'autres solutions que de percevoir des impôts là où elles le pourront.
Malheur aux propriétaires assujettis aux taxes foncières ! Ces dernières risquent d'exploser dans les années à venir. En 2021, un an après les municipales, la facture va être salée...