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  • Taxe d'habitation : tripatouillages en cours, retour de flammes à venir...

    45-7_d-impots.jpgLes contribuables ayant des revenus par part fiscale inférieurs à 27.500€ annuels (80% des contribuables en gros) ont eu la bonne surprise, en ce mois d'octobre, de voir leur taxe d'habitation (TH) diminuer de 30% (normalement... Voir plus loin). L'an prochain, ce sera de 70% et en 2020, ils ne devraient plus payer un centime à ce titre.

    "Ce Macron, il fait quand même des bonnes choses !" diront les gogos qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Chaque fois, ils se font avoir mais ils en redemandent. Explications.

    Rappelons tout d'abord que la taxe d'habitation est perçue par les communes ou les intercommunalités à fiscalité unique. C'est à dire que l'Etat macronien fait des cadeaux avec l'argent des autres. En l'occurrence sur le dos des entités qui ont à gérer le quotidien des Français, au plus proche de leurs besoins (écoles, voiries, eau, assainissement, services sociaux de proximité, logement...) et avec toujours plus de contraintes. 

    Bien entendu, le gouvernement s'est engagé à rembourser les collectivités concernées pour la perte engendrée par cette réforme.

    Les plus malins des maires ou des présidents d'intercos ont fait un rapide calcul : si en 2018, j'augmente ma TH de 10%, mes administrés verront quand même leur TH baisser de 20% (au lieu de 30%). Ils seront contents et pour ma commune, l'Etat remboursera ma TH augmentée des 10% votés cette année.

    Voilà l'entourloupe que les hauts-fonctionnaires du ministère des finances et les champions de la nouvelle ère macronienne n'avaient pas prévue. L'Etat, qui n'a à ce jour toujours pas expliqué où il allait trouver les ressources pour la compensation auprès des communes, se retrouve dès la première année avec une masse de TH à rembourser plus importante que ce qui était prévu. Et ce n'est pas fini : les moins malins des maires vont se joindre au mouvement en 2019...

    Au final, il y a fort à parier que l'Etat n'honore pas ses engagements ou que les compensations ne soient que partielles ou très provisoires. Les collectivités territoriales verront leurs ressources diminuer et ne pourront faire face à leurs besoins. Déjà largement affaiblies financièrement par les baisses de dotations de l'Etat et les transferts de compétences mis sur leur dos par ce même Etat, elles n'auront pas d'autres solutions que de percevoir des impôts là où elles le pourront.

    Malheur aux propriétaires assujettis aux taxes foncières ! Ces dernières risquent d'exploser dans les années à venir. En 2021, un an après les municipales, la facture va être salée...

     

     

  • Résistance à l'oppression... une leçon de J.-M. Le Pen en 1990


    Sans titre.pngOn parle beaucoup en ce moment du coup de gueule et des quelques bourrades distribuées par Jean-Luc Mélenchon aux représentants du Parquet et à des policiers venus perquisitionner son domicile et les locaux de son parti. Il ne date pas d'hier que les procureurs, qui sont sous les ordres directs du gouvernement, agissent quelquefois selon des motivations plus politiques que liées à la bonne administration de la justice.

    Mélenchon le jacobin, le nostalgique de 93, devrait être le premier à le savoir.

    La police comme la justice sont bien souvent utilisées à des fins politiciennes et il n'est pas rare que les libertés en prennent un coup au passage. La résistance s'impose alors.

    "L'épée de Saint Michel" vous offre, exhumé de ses archives, un grand moment de résistance à l'oppression.

    Le 27 mai 1990, le Préfet de Savoie, aux ordres du ministre de l'intérieur Pierre Joxe, tente d'interdire à Jean-Marie Le Pen de tenir une réunion en un lieu privé, à Saint Franc. Après une explication de texte et quelques leçons de libertés fondamentales adressées à un colonel de gendarmerie et au directeur de cabinet du Préfet, le Président du FN passe et tiendra sa réunion. Un grand moment ! (extrait de National Vidéo n°4, 15/06/1990)


  • Autre méditation du père R. Th. Calmel

    Sur le cinquième Mystère glorieux, couronnement dans le Ciel et Royauté de Marie :

     

    "Comme le rappellent notamment les fêtes du saint Rosaire et du Saint Nom de Jésus, nous avons des preuves palpables que la Sainte Vierge, Reine du Ciel et de la terre, intervient miraculeusement dans la vie de l'Eglise pour lui faire repousser les forces de l'Enfer.

    Qu'il plaise donc à la Vierge puissante d'intervenir plus vigoureusement que jamais. Qu'il lui plaise encore de nous obtenir la victoire dans nos luttes quotidiennes, d'autant que nous avons à combattre 'non seulement contre la chair et le sang, mais contre les esprits mauvais, contre la malice et les embûches du démon' (Eph. VI.12)."  

  • Barbus


    Un militant de la France Insoumise a cru reconnaître un garde du corps d'Emmanuel Macron parmi les policiers ayant perquisitionné le siège mélenchoniste avant hier matin.

    Libération a enquêté : il parait peu vraisemblable qu'il s'agisse du même homme.

    En revanche, depuis l'affaire Benalla, on s'étonnera du nombre de barbus parmi les gardes du corps du président de la république...

    Comme le fait dire Michel Audiard à Lino Ventura : "Un barbu, c'est un barbu. Trois barbus, c'est des barbouzes !".

     

  • Réponse à Macrotte par l'histoire

    Marie Thérèse de Habsbourg (1717-1780), impératrice d'Autriche et l'une des plus fines intelligences politiques de l'histoire européenne :  16 enfants !

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    Avec François de Lorraine, son époux, et 13 de leurs 16 enfants dont la future reine de France Marie-Antoinette.

  • Macrotte

    Lors d'un déplacement onusiaque, Macron, archétype de l'homme nouveau aseptisé et sans racine, a déclaré : "S'il vous plait, présentez-moi une femme qui a décidé, tout en étant instruite, d'avoir 7, 8, 9 enfants".

    Outre-Atlantique, ces propos ont déclenché un tollé et un flot de réactions montrant l'idiotie mensongère d'Emmanuel Macron. 

    Il visait les femmes africaines qui sont déjà la proie des équipes de l'ONU.

    Au Bénin, par exemple, ces commandos sillonnent les villages pour poser, sans leur consentement, des stérilets aux jeunes filles. Après cela, celles qui veulent  avoir des enfants doivent se rendre chez des médecins pour faire retirer ce stérilet mais la grande majorité n'a pas les moyens de payer cette intervention.

    Lors d'une de ses tournées en France, il y a quelques années, l'archevêque de Parakou Mgr Pascal N'Koué, s'était insurgé contre ces méthodes scandaleuses, s'appuyant sur l'Evangile, la doctrine de l'Eglise et l'évidence que l'Afrique est capable de nourrir TOUS ses enfants vivants et à naître.

    Il avait à cette occasion fustigé ce mondialisme qui empêche le développement en Afrique afin de ne pas créer, notamment dans le domaine de l'alimentation, une concurrence aux puissances que sont la Chine, le Brésil ou les Etats-Unis qui, par contre, inondent, elles, le marché africain. Au Bénin, on mange du riz chinois par exemple... 

    Macron, le pur produit de ce mondialisme anti-humain, ne peut que s'inscrire dans cette logique-là.

     

  • Les multinationales aux commandes

    danone-sponsorship-events-logo.pngMacron remercie ceux qui l'ont fait élire et travaille à ce pourquoi il a été poussé à la Présidence*.

     

    Après Muriel PENICAUD, ex-DRH du groupe multinational Danone, nommée ministre du travail en mai 2017 et reconduite lors des deux récents remaniements ministériels, la nouvelle secrétaire d'Etat chargée de la transition écologique est également issue du cette multinationale.

    Sous l'autorité ministérielle du professionnel de l'écologie François de RUGY, Emmanuelle WARGOND a en effet été directrice de la communication de Danone de 2015 à 2017. Elle travaillera aux côtés de l'autre secrétaire d'Etat à la transition écologique (eh oui, la planète se réchauffe, il faut du monde pour faire baisser la température !), elle-même ancienne directrice du développement durable de la multinationale Veolia... L'écologie politique, c'est bien une affaire de trusts et de gros sous ramassés dans les poches des pauvres ilotes de français et des PME qui n'ont qu'à supplier les multinationales de les avaler si elles ne veulent pas crouler sous le poids des taxes et des réglementations.

     

    * Rappelons qu'entre 2008 et 2012, Emmanuel MACRON a travaillé pour la banque Rotschild, qu'il a conseillé notamment les groupes Sofiprotéol (Avril, qui a la mainmise sur la moitié de la production française de colza et de tournesol) ou Nestlé...

  • Deux méditations pour notre temps par le père R.-Th. CALMEL, o.p.

    Le père Roger-Thomas CALMEL (1914-1975) est un religieux dominicain du XXe siècle, l'un de ceux qui ont été à la pointe du combat pour la défense de l'Eglise. Un des auteurs de premier plan de la revue "Itinéraires" dans laquelle il écrit de nombreux articles  pour la défense de la liturgie traditionnelle et des sacrements. On trouve la plupart de ces textes aux Nouvelles Editions Latines en des rééditions récentes. Une notice détaillée sur la vie et l'oeuvre du père Calmel est à lire  sur le bog de Xavier Soleil.

     

    Méditation sur le troisième Mystère glorieux, la Pentecôte :

    "Par son onction mystérieuse l'Esprit de Jésus nous instruit de tout (voir Ia Jo. II, 20 et 27). C'est ce divin Esprit qui préserve les saints de s'égarer et de se troubler dans les situations les plus déroutantes et les plus scandaleuses. Même lorsque les ténèbres et le brouillard de l'Antéchrist étendront leur nappe sur la face du monde, l'Esprit-Saint, toujours à l'oeuvre dans l'Eglise catholique et le coeur des fidèles, ne cessera de les guider, saura les instruire, les consoler, les préserver des faux-pas".

     

    Méditations sur le cinquième Mystère glorieux, le Couronnement de la Sainte Vierge :

    "Vierge Marie, à la suite du pape Pie XII et pour obéir à la demande que vous avez adressée au monde par les enfants de Fatima, nous nous consacrons sans réserve à votre Coeur Immaculé. Au milieu des obscurités présentes veuillez faire de nous des témoins irréprochables de la doctrine catholique, des témoins de la vraie foi, fidèles jusqu'à la mort".

     

    "Le Rosaire de Notre Dame", R.-Th. Calmel, O.P., DMM 1994.

  • Après les divorcés, les migrants ou les frères en Abraham, voici la pastorale des LGBT...

    Cela ne date pas d'hier et il y a belle lurette que l'Eglise a succombé à la très moderne tentation de traiter ses fidèles (ou les autres) selon une catégorisation inspirée des modes en vogue dans les sociétés occidentales. Cela a commencé avec le "jeunisme", qui consiste pour les prêtres non plus à enseigner les jeunes mais "à faire le jeune". Depuis, d'autres modes sont arrivées...

    Riposte Catholique nous en apporte un exemple (parmi d'autres hélas) avec le diocèse de Poitiers qui, sous couvert de la pastorale des familles, se lance dans "l'accompagnement" des homosexuels. Comme ailleurs, cette pastorale reprend toute la symbolique des LGBT avec notamment le désormais omniprésent drapeau arc en ciel. Si l'on veut vraiment aider les personnes homosexuelles, a-t-on besoin de les rassembler sous le couvert d'une symbolique idéologiquement fabriquée par des gens dont les objectifs sont tout sauf chrétiens ? 

    Nos pasteurs devraient en toutes ces choses méditer les paroles du Patriarche orthodoxe russe Kirill lors d'une visite au Parlement européen il y a quelques années. Interrogé malicieusement par le député Cohn-Bendit sur l'intolérance de son Eglise devant l'homosexualité, le Patriarche a fait cette réponse nette et sans appel : "J'aime les pécheurs, ce que je déteste en revanche, c'est le péché !"

    Il semble désormais qu'à chaque fois que l'Eglise aborde un sujet tel que les divorcés-remariés ou les homosexuels, il faille que ce soit elle qui s'adapte et modifie son discours et son enseignement. Est-ce cela être "dans le monde" ? 

    En 1990, l'abbé Bryan Houghton écrivait à ce sujet : "Aujourd'hui si l'on nous demande de réfléchir à la question des divorcés remariés du "point de vue pastoral", nous savons que nous devons faire abstraction de l'enseignement dogmatique de l'Eglise, et les encourager à la communion quotidienne avant de les faire entrer au conseil paroissial". (extrait de"Prêtre rejeté" DMM, chapitre "L'Eglise du bavardage").

    N'est-ce pas la triste réalité qui éclate aujourd'hui ?