Au café de la Grande Bise (un fort vent du nord qui souffle en Lorraine...), le patron raconte que sa nièce a du remplir des formulaires pour l'école de sa fille où les cases "père" et "mère" ont été remplacées par "parent 1" et "parent 2".
"Vous vous rendez compte ! où est-ce que l'on va comme ça ?" s"exclame-t-il.
L'Antoine, qui finit de rouler sa clope avant d'aller la fumer dehors, ajoute sur un ton sans appel : "Quel pays ! Parent un, parent deux ? Part en couille, oui !"